Agée de 40 ans, le 27 septembre, je vais faire la première dose du pfizer. Je n’avais pas très envie mais on nous a mis une telle pression, dont celle de ne plus pouvoir mener nos enfants au sport. Je demande à voir le médecin pour être rassurée compte tenu de mes antécédents médicaux et celle-ci me répond, que bien au contraire, il faut absolument que je le fasse car je suis considérée comme personne à risque. Après 1 heure de discussion, je me lance. Le temps de m’assoir sur la chaise, de dire à mon amie que j’ai très faim comme une hypoglycémie et je m’effondre, inconsciente, puis prise de convulsions. Rien sur place pour me prendre en charge, le samu arrive et je me retrouve dans le coma et inhibée sur place. Transférée en réanimation, ensuite en soins intensifs où le médecin me dis que j’ai fait un choc neurologique sévère suivi d’une crise d’épilepsie, une pneumopathie et que les dédimeres augmentaient. Je rentre très affaiblie, pendant plusieurs jours je n’allais pas bien. On me dit c’est dû à l’injection et que ça va passer. Je dois obtenir un pass sanitaire suite à la contre-indication, sauf que personne n’a voulu me le faire . Me sentant toujours aussi mal avec des malaises, une hémorragie et une pelade, je vais voir mon cardiologue en urgence, c’est là qu’au niveau de la jugulaire interne droite nous avons retrouvé une thrombose flottante de 3,4cm, un réel coup de massue pour moi. C’est la 3ème fois que je transmet les documents à la sécurité sociale, et ils jugent irrecevable un des documents. Après discussion, on me dit qu’il faisait tout pour ne pas faire de contre-indication c’est juste inhumain et inacceptable.