Agée de 35 ans, sportive et pleine d’énergie. Le 15/11/21, première injection pfizer avec une sérologie faite le jour même qui confirme que je n’ai jamais eu le covid. La médecin du centre me dit qu’il n’y a aucune contre-indication à faire du sport le jour même et après, et que je risquais très peu d’effets secondaires. Pendant deux jours, j’allais très bien. Juste des fourmillements dans les jambes le soir, que je met sur le compte du sport, de type fitness. Après et jusqu’à ce jour, avec des variations certains jours et un pic de gravité des symptômes en janvier : Fourmillements, sensation de brûlures dans les jambes 24h/24 (pire la nuit), Sensation grippale, petite fièvre, courbatures (disparues au bout de 2 mois), Perte d’énergie forte (En janvier 100 m d’affilé, c’était déjà bien vu ma perte d’équilibre), Cœur qui peut monter à 120-130 Batt/min au repos, sensation d’arythmie et de tachycardie, impossibilité de faire un effort comme courir ou porter une charge. Depuis janvier, des malaises réguliers avec tremblement. J’ai aussi une augmentation des acouphènes et des pertes de sang anormales. Ma généraliste m’a écrit une contre-indication au vaccin de 3 mois, mais cela ne valide pas un pass. Décembre 2021 : J’ai consulté une infectiologue qui a évoqué des « lésions au niveau des nerfs ou du cœur ». Elle m’a envoyé faire des examens qui n’ont rien montré de suspects. Fin janvier, le bilan de l’interniste est le suivant : lésions des nerfs, dont le nerf vague (d’où les malaises), voire une neuropathie des petites fibres suite à une réaction pro inflammatoire au vaccin. Cela a donc amené à une Dysimmunité. En février, je consulte un professeur en cardiologie, qui voit une dysautonomie, un dysfonctionnement du système nerveux autonome et me met sous bétabloquants. Après 7 mois, et sans grand effet, je décide d’arrêter tous les traitements en continuant uniquement avec des compléments alimentaires et en prenant en main ma maladie et en m’instruisant beaucoup sur la médecine holistique : j’obtiens quelques améliorations, mais je ne peux toujours pas faire de sport, ni travailler. Pfizer me répondra une lettre langue de bois sur mes effets secondaires. En mai, l’ANSM me dira être débordée par les dossiers comme moi et me dit ne pas avoir le temps de traiter mon dossier, puis me dit que je suis un cas unique en septembre (normal, elle a recherché à Dysautonomie, qui est un terme très technique surement pas diagnostiqué facilement chez les patients) …J’ai pu alors démontrer avec leurs propres documents officiels que les problèmes du système nerveux et la tachycardie sont clairement référencés dès les premières pages des effets secondaires pfizer. Jusqu’à maintenant, je ne compte donc pas en effet secondaire pour eux…