Je m’appelle Lily, 62 ans, retraitée de la Fonction Publique et je voulais témoigner des effets secondaires que j’ai subi suite à la 2ème injection contre le Covid. Tout a commencé le 28 juin 2021 à la 2ème injection du vaccin Pfizer. Dans la nuit qui a suivi j’ai eu des maux de tête, de la température, des courbatures, mais je ne me suis pas inquiétée car on m’avait prévenu. Les 10 jours suivants j’étais essoufflée au moindre effort et surtout très fatiguée. Je suis une personne active mais cette fatigue m’obligeait à me coucher plusieurs fois dans la journée. Début juillet sont arrivées les palpitations qui se manifestaient régulièrement et fréquemment jour et nuit et qui m’empêchaient même de dormir. C’est un peu comme si le cœur s’emballait, il bat plus vite et plus fort. Je précise qu’auparavant je n’ai jamais eu ce type de soucis. Inquiète, j’ai consulté mon médecin traitant qui m’a envoyé aux urgences en me disant qu’il avait plein de patients qui souffraient des mêmes symptômes suite au vaccin sans compter les cas de thromboses au niveau des yeux avec vue trouble et aussi des phlébites. Arrivée aux urgences je leur explique mon cas et j’ai droit à 2 heures d’électrocardiogramme. Je voyais bien sur l’écran que lors de palpitations le tracé changeait. Au bout des 2 heures un médecin arrive et me dit « vous pouvez rentrer chez vous vous n’avez rien » Je lui parle de mes palpitations bien visibles sur l’écran, elle me répond « que ce dérèglement n’était dû au vaccin et de consultez un cardiologue si ça m’ inquiète » Je retourne voir mon médecin traitant pour discuter des résultats. Il ouvre l’enveloppe devant moi qui contenait le compte rendu et un papier représentant environ 1 mn des 2 heures passées à subir l’électrocardiogramme avec bien sûr juste au moment où le cœur battait normalement, il secoue la tête et me dit « ils étaient sensés faire une échographie….. » Je retourne aux urgences pour récupérer mon dossier. « Mais Madame on ne donne pas un dossier médical comme ça sur simple demande votre médecin a eu les résultats voyez avec lui! » J’insiste pour m’entendre dire « de toute façon nous n’avons plus rien, tout a été détruit ». Ces palpitations ont duré près de 2 mois. Fin août je ressens un soir des douleurs thoraciques intenses avec du mal à respirer et des nausées. J’avais lu un jour qu’en cas d’infarctus il fallait tousser, ce que j’ai fais. J’étais seule dans mon appartement et j’ai eu très peur. J’ai pensé appeler les urgences mais je me suis ravisée pensant qu’ils allaient encore me dire que je n’ai rien. 2 soirs plus tard mêmes douleurs thoraciques. La semaine suivante elles ont repris mais moins fortes. J’ai consulté un cardiologue fin septembre qui m’a dit et écrit que mes symptômes étaient probablement liés à l’injection et que de nombreux patients étaient venus à son cabinet avec les mêmes douleurs. Il a dû fermer son cabinet car non vacciné et je me suis tournée vers un autre cardiologue afin de finaliser les examens prescrits. La pose d’un holter a révélé que j’avais un cœur qui battait plus vite que la normale, c’est la première fois que j’entends cela. Il m’a tout simplement dit « ça doit être génétique mais je vous conseille de retourner chez votre 1er cardiologue avec ce dossier ». Depuis j’ai encore quelques palpitations et il persiste une très grosse fatigue qui, lorsqu’elle arrive, m’oblige à me coucher sur le champ.