Mon fils aîné, Killian 14 ans, reçoit sa première injection Pfizer le 30 août et 4 jours plus tard les premiers symptômes apparaissent. Il est pris de douleurs thoraciques, je pense à des douleurs intercostales car la veille il avait fait du volleyball. Je lui donne un doliprane et la journée se passe bien. La nuit suivante, il me réveille me demandant de l’aide car il a encore plus mal que la veille.
Je sais qu’il y a des cas de myocardite rapportés chez les adolescents, alors je l’emmène aux urgences. Le médecin pense à des maux d’estomac, mais lui fait un électrocardiogramme. Après une prise de sang, il faut le transférer dans un hôpital car il fait une myocardite.
Selon les médecins, son taux d’anticorps après vaccination était très élevé. Ce qui a créé cette inflammation. Pourtant, j’ai demandé le test sanguin au bout du doigt lors de la vaccination qui s’est révélé négatif (pas du tout fiable selon les médecins).
L’hôpital prescrit à son frère un test sanguin appelé ELISPOT COVID (200€ à nos frais). Il permet de différencier l’immunité liée à l’infection par le virus d’une immunité liée à la vaccination. Il revient positif, donc ils avaient bien tous les deux contracté le virus mais étaient asymptomatiques. Pourquoi ne faisons-nous pas des examens pour vérifier les taux d’immunité avant la vaccination ?