Claude, âgé de 87 ans, ancien sportif et enseignant d’éducation physique, restait actif et autonome dans sa vie quotidienne. Il reçoit une 1ère injection fin avril 2021, peu consentant mais victime d’une pression médiatique, il reçoit une 2ième injection début juin 2021. Environ 20 jours plus tard, son état de santé s’est brutalement dégradé. Vertiges aggravés, tête confuse et embrumée en permanence, tremblements des membres supérieurs et inférieurs, perte totale de force et d’équilibre, maux de tête journaliers à se taper la tête contre les murs, perte d’appétit, état général de souffrance diffuse insupportable. Il ne peut plus regarder la télévision, lire ou tout autre activité d’attention, sa vue a beaucoup baissé. Son état de santé est aujourd’hui très préoccupant et malheureusement ni son médecin traitant, ni les spécialistes qu’il a pu consulter ne veulent s’intéresser à l’éventualité d’effets secondaires graves qui, pourtant, devraient susciter au moins des interrogations tant la corrélation est suspecte et vraisemblable. N’est pas le devoir d’un médecin d’envisager toutes les pistes et causes possibles pour soigner ses patients ? Le seul diagnostic émis est celui d’un syndrome de glissement associé à un état dépressif sans qu’aucune origine ne soit identifiée. C’est atterrant. Nous ne savons plus auprès de qui nous tourner pour obtenir une écoute appropriée et espérer un traitement pour soulager sa souffrance. Il était en bonne santé pour une personne âgée avant ces injections !