Notre fils, notre frère, Anthony de 24 ans, étudiant en 6 ème année de médecine à Nantes, se fait vacciner le 08 mars avec Astrazeneca. La veille de son décès, le 17 mars, il se plaint de douleurs au ventre mais il dit que ce n’est pas grave, pas de quoi s’inquiéter, qu’il a pris un rdv chez le médecin. Il pense à une gastro, ou au stress car il venait de passer un examen blanc. Le lendemain, n’ayant pas de nouvelles malgré nos nombreux appels téléphoniques, je décide d’aller chez lui. En même temps, ses amis en lien avec nous, décident d’appeler les pompiers. J’arrive en même temps qu’eux et je comprend qu’il n’est plus de ce monde. La police est présente ainsi que le médecin légiste. Ils concluent à un décès suspect et émettent des réserves, décidant de pratiquer une autopsie le lendemain.
Anthony était un enfant en parfait état de santé, courrait 3 fois par semaine, faisait énormément attention à sa santé, ne fumait pas, ne buvait pas d’alcool, avait une alimentation équilibrée, bref, il avait une hygiène de vie irréprochable.
Les résultats de l’autopsie, ont révélé des thromboses partout, tout les organes vitaux étaient touchés même le cerveau. Il n’avait aucune chance de s’en sortir. L’enquête a conclu à un homicide involontaire dû au produit injecté.
Le lendemain de son décès, la vaccination pour les moins de 30 ans était interdite, de quoi se poser des questions.