Mon fils, Yann Hascoet 25 ans, a eu sa deuxième injection le 2 septembre , il l’a fait pour un suivi chez son médecin, « passe sanitaire » obligatoire. Le 15 septembre, il s’effondre dans la cuisine de mon ex-mari, quand les pompiers arrivent, ils appellent le samu et commencent un massage cardiaque mais Yann ne revient pas. Une autopsie est demandée par les policiers, ces derniers me contactent par téléphone pour me donner le résultat qui est un arrêt cardiaque. Lorsque je demande le rapport d’autopsie, ils me disent qu’ils n’ont pas à me le remettre. Je vais faire tout mon possible pour y avoir accès, et pour savoir la vérité sur le décès précoce de mon enfant.