Agée de 40 ans, ma vie a basculé le 1er septembre 2021. Je ne souhaitais pas me faire vacciner ni mes enfants par principe de précaution tant que le vaccin était toujours en phase expérimentale. Mon fils est gardien de Hand et l’entrée était interdite par la loi aux non vaccinés dans les gymnases en 2021. Nous avons donc tenus puis cédés au chantage de la vaccination gouvernementale pour qu’il puisse continuer à voir ses amis et continuer sa passion dont il veut en faire son métier. Le Hand lui avait permis de sortir d’un harcèlement scolaire, par ses propos et à maintes reprises, il m’a laissé attendre qu’il vivrait très mal mentalement d’arrêter le Hand. Je me suis donc rendu avec lui au centre de vaccination. J’ai annulé le premier et le second rendez-vous et le troisième rendez-vous mon fils m’a dit « ça suffit, il faut y aller maman ». L’infirmière a dû me cacher derrière un paravent car je pleurais au moment de l’injection. J’avais un mauvais pré-sentiment. Elle s’est voulu rassurante me disant que j’allais diminuer par 8 mon risque de transmission en cas d’infection…
A J-8 après ma 1ère dose de Pfizer, je commence à développer un syndrome grippal associant fièvre, frissons, céphalées, herpès, infection urinaire et vaginale, douleurs au flanc droit et douleurs pelviennes. J’ai mal partout au point de plus pouvoir me retourner dans mon lit. Mon fils lui va bien. Je ressens une extrême fatigue avec des douleurs musculaires intenses, je ne peux plus m’occuper de mes enfants que je confie au papa le temps de ma guérison. A J-10, je commence à ressentir une gêne respiratoire, je suis très vite essoufflée, monter au second étage de chez moi devient compliqué. Je suis vite essoufflée quand je dois parler longtemps à une personne ou quand je dois grimper des escaliers ou franchir une montée comme celle de l’école de ma fille. Je n’ai jamais eu d’essoufflements graves de ce type avant cette vaccination.
Je fais du Krav Maga et très vite avec mon professeur on s’aperçoit que je n’imprime plus les enchaînements comme avant. Ayant pratiqué la danse, je n’avais jamais eu ce problème de coordination entre mon cerveau et mes muscles auparavant. J’étais plutôt du genre à reproduire spontanément les enchaînements de façon naturelle.
A ce jour, les essoufflements persistent et me pourrissent la vie. Ils me fatiguent. Je ne peux plus faire de randonnée comme avant. Je me contente de petite randonnée de 2h sans trop de dénivelée pour m’éviter d’être en souffrance physique et mentale. Tout cela affecte bien-sur mon mental et a des répercutions sur ma vie professionnelle ( un mois d’arrêt de travail après l’injection et des arrêts de travail à répétition depuis à cause de la fatigue).
J’ai fais la déclaration de mes effets secondaires sur le site signalement-sante.gouv.fr, j’ai été bien prise en charge par le service de pharmacovigilance de ma région. Je recommande à tous ceux qui ont des effets secondaires graves comme moi de se déclarer auprès de la pharmacovigilance car c’est un début de reconnaissance pour les victimes (pas besoin du médecin traitant).