Mon fils, Frédéric 41 ans, a subi une intervention médicale lourde à savoir l’ablation d’une partie d’intestin nécrosé. Appelé par le cardiologue, il me prévient qu’une autre intervention concernant son cœur serait faîte pour le remplacement de la valve aortique, mais vu son état de faiblesse et l’opération qui pouvait durée entre 3 et 5 heures de gros risques étaient pris car un microbe dans le sang avait altéré son appareil digestif et sanguin. Pendant son hospitalisation il a été victime d’un anévrisme à une artère allant du cœur aux intestins et qui a suscité une autre intervention chirurgicale pour installer un stent afin d’éviter un éclatement et une hémorragie qui aurait pu entraîner son décès vu la gravité. Ayant récupéré mon fils et ayant constaté chez moi, des problèmes de respiration je l’ai par sécurité emmené aux urgences. Il est reparti au bloc opératoire pour une masse liquide importante de plus d’un litre autour du cœur qui aurait pu entrainé son décès. Le cardiologue a confirmé à mon fils que l’urgence était vitale. Après son intervention mon fils ne pesait plus que 54 kg pour 1.78m il était d’une grande fragilité. Au mois de novembre mon fils a reçu le vaccin pour la grippe et dans la foulée la première injection Pfizer et 3 semaines plus tard le 15 novembre 2021 la deuxième injection Pfizer, le 21 décembre 2021, il décède à 41 ans. Je me pose la question étant si faible on lui injecte 3 vaccins en un mois ???? alors qui se plaignait depuis la 1 ère injection COVID de fourmillement dans les bras, grelotait de froid, n’arrivait pas à se réchauffer, était très essoufflé et très fatigué, il dormait énormément il voulait se faire hospitaliser mais pour cela étant en plein COVID, pour rentrer au centre hospitalier il fallait qu’il soit vacciné …… donc on lui fait encore la deuxième injection COVID ????Vaccine t’on une personne aussi faible qui de surcroit se plaint de symptôme après la 1 ère injection ?? Fallait-il attendre qu’il soit vacciné pour l’hospitaliser avec un dossier pareil ??